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 i need my lover dose (gala)

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MessageSujet: i need my lover dose (gala)   i need my lover dose (gala) EmptyMer 8 Aoû - 23:58

Gala "Brandy" Bartolotti
je veux jouer milieu de tes reins
i need my lover dose (gala) PhKGZUv i need my lover dose (gala) F2a682ffdc5deb48f1694583f9ed6ddb--couple-illustration-drawing-couple-ilustration  i need my lover dose (gala) Q5axaTn
NOM. Gala, elle a tagué son nom à la craie sur le bitume (pour que le sol ne l'oublie pas, pour laisser sa marque, c'est son walk of fame à elle les trottoirs de la ville). Bartolotti, quatre syllabes, un peu trop d'Italie, ça ferait tanguer un mec ivre et ça lui balancerait des étoiles à la gueule. Elle aurait aimé le faire sur un arbre, comme dans les films, mais elle dort pas sur les arbres et elle préfère les rues aussi vieilles que Jésus. PRÉNOM(s). Gala, manque plus qu'une syllabe pour monter dans la fusée. Et quand Gala elle enfile sa tenue de cosmonaute des rues pour faire exploser des bombes colorées, ou quand elle joue à cache-cache pour Loup, alors elle devient Brandy, Brandy Bartolotti. ÂGE. Gala Bartolotti, vingt-quatre piges, vingt-quatre molécules qui ont fait vingt-quatre fois le tour du monde, donc sûrement pas vingt-quatre pas (ou peut-être en ajoutant quelques zéros derrière). Vingt-quatre ans, assez vieille pour acheter des bières, mais Gala elle préfère les voler. Sauf qu'elle est pas assez vieille pour pas se faire choper alors vingt-quatre nuits entre les cuisses de la taule (mais ça elle l’a jamais dit à Ario, il aurait été trop déçu, elle voulait pas qu'il soit déçu.) DATE ET LIEU DE NAISSANCE. Gala elle a rien d'une New-Yorkaise, pourtant elle a ses buildings dans la peau. Les rues du Bronx, le quartier italien, elle en est partie puis elle y est revenue, elle sait jamais vraiment ce qu’elle veut (c’est sûrement pour ça qu’elle en est repartie). Elle, elle préfère les trottoirs de Marseille ou les plages d'Australie. Plus que sa famille pour lui rappeler que c'est là qu'elle est née, un deux mars, et pas entre deux gondoles ou au milieu des pigeons de Venise. ORIGINES/NATIONALITÉ. Sur le passeport il y a marqué américaine, mais Gala elle se sent pas américaine, elle se sent italienne, comme Ario, comme mama. TAFF. Gala, avec quelques bombes de peinture achetées ou peut-être volées, elle griffonne les monstres de Monsters and men sur les murs du monde en signant ses tags Brandy pour rester discrète (secrète), ou elle pirate les sites des banques (à défaut de pouvoir les braquer en vrai, ça, elle sait pas (encore) faire). Mais pour calmer l’ennui d’une nuit, elle a trouvé ce job de serveuse au diner de Queenie, tenue et patins compris (elle a pas encore réussi à sprinter pour éviter les mains baladeuses et les sourires en coin des habitués mal lunés). Elle aurait pu rester calme mais Saul l'a changée (Saul l'a modelée), et ses poings s'éclatent désormais contre les mâchoires déjà plusieurs fois cassées (ça s'éclate aussi contre les siennes). STATUT CIVIL. Célibataire, Gala elle préfère jouer James Bond toute seule, sans personne (surtout pas avec Loup), même si elle dirait bien oui à Leonardo DiCaprio (elle s'est déjà mariée avec Brad Pitt à Las Vegas, celui de la lune). GROUPE. Ostria, Gala elle a pris ses rêves et elle les a mis dans une bouteille sans avoir jamais eu le courage de la jeter à la mer (ces trucs ça vous colle à la peau). Sauf que la bouteille s’est brisée toute seule quand son frère est mort et les rêves se sont carapatés avec Pandore loin du fond de la boîte (on dit que c'est la colère qui a pris le dessus).
joueuse
impulsive
passionnée
bornée
(in)stable
libre
provocatrice
aventureuse
Et ta piaule, à quoi elle ressemble ? Elle a des airs de contrefaçon Gucci, elle est pas rangée, petite, clairement pas aux normes, insalubre. Le soir, elle aligne les joints pour pas entendre le lit des voisins crisser sous les coups de rein, s’installe dans le canapé-lit qui a vécu deux fois plus qu’elle et laisse son regard se perdre entre les lignes du plafond. Il y a encore et toujours la bande-originale de James Bond en fond-sonore, parce qu’elle a repris un appartement au numéro 007. C’est pas le même qu’avant, mais elle a mis des photos d’Ario, de la famille (de Loup), des souvenirs d’Ario (de Loup), alors ça a fini par ressembler à peu près à quelque chose. Elle a tagué les murs et quand l’envie lui prend elle reprend les bombes pour faire la guerre au blanc du mur.

Comment t'as débarqué ? Elle avait le vieux sac de voyage sur son dos, avec les deux bombes de peinture dans les poches sur le côté, et une paire de doc pour refaire le monde. Sauf que maintenant New-York la ville fantôme a disparu entre les dunes, parce qu'elle a suivi Alyosha au bout du monde, près de la frontière, en se disant que ce serait mieux d'aller quelque part sans les souvenirs constants pour lui éclater à la gueule. Mais le monde sans Ario n’a décidément pas la même saveur.

Qu'est-ce que t'espères trouver ici ? C'est plutôt l'inverse, avec Gala, savoir ce qu'elle espérait ne pas trouver. Elle voulait pas revoir constamment l'ombre du frère qui venait se glisser contre elle à chaque coin de rue, mais elle a bien compris qu'on vient pas ici pour faire carrière. Alors elle cherche pas à trouver quelque chose, Gala. Elle trouve, et c'est déjà pas mal.

PSEUDO. jabberwocky. ÂGE/PAYS. 19, france. CONNEXION. tous les jours. TYPE DE PERSO. inventé. COMMENT T'AS TROUVÉ LE FORUM ? m'en parle pas, c'est un sujet sensible. :meh:  PARTICIPATION À LA ROULETTE DU RP. nope. AVATAR. giza queen lagarce. CRÉDITS. regards coupables (icons), formule140 (citations), SKATE VIBE (avatar). UN DERNIER MOT. sushis :bave: (c'est bon @Saul Morrison j'ai posté rolling)


Dernière édition par Gala Bartolotti le Jeu 9 Aoû - 0:29, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: i need my lover dose (gala)   i need my lover dose (gala) EmptyMer 8 Aoû - 23:59

Once upon a time
je préfère me regarder dans tes yeux
(UN) Sur le polaroid des Bartolotti il y a la mère et puis le père en arrière-plan un peu flouté, un peu effacé, comme lui de son vivant. Il y a Vito et les jumeaux, et ils avaient fini par y remettre Ario et Gala, même si Gala elle s’était cassée avec son Sugar Daddy dans la Jaguar et Ario avait préféré Jack Daniels (c'est ce qu'elle s'imaginait). Elle voyait ça comme la scène typique des vieux films en noir et blanc, un Woody Allen de mauvais genre. Il y avait tout, l'abandon de la mama quand Ario s'était fait prendre, la petite sœur pas vraiment grande qui avait fini par se perdre dans les rues du monde parce qu'elle aimait trop son frère pour lui tourner le dos (mais aucune voiture près de l'église à minuit pour l'emmener voir Hemingway à l'horizon). Alors finalement ne restait plus que Gala et la mappemonde, la mappemonde et Gala. Elle leur en avait voulu, à la mama, à Vito, aux jumeaux. Elle leur avait hurlé des mots auxquels elle ne croyait même pas, des phrases qui n'avaient aucun sens, des injures sitôt regrettées. Elle leur avait balancé ses regrets à la gueule, était partie parce qu'elle ne supportait pas de voir Ario derrière une vitre, parce que c'était trop difficile.

(DEUX) Elle s'était laissée porter sur les vagues de l'océan galactique et depuis ses seize ans elle avait dit addio aux murs souillés de New-York, faut dire que les falaises françaises ça ferait chavirer n'importe qui et Gala elle avait bien envie de goûter le sel de la mer d'en bas. Pendant sept ans elle avait eu l'adrénaline, la dopamine (peut-être même la cocaïne) dans les veines et dans le sang, elle s'était dit qu'elle reviendrait sûrement jamais. Que s'ils décidaient d'envoyer des fusées sur Mars Gala elle braquerait des banques pour avoir assez de cash à leur donner, et sur leur liste ils marqueraient Gala Bartolotti en premier. Gala elle a grandi depuis le temps, cette gamine qui imitait Zorro devant la télévision, qui dévalait les rues pour jouer à cache-cache avec Ario et qui finissait par se cacher sous un étal de légumes, parce qu'elle était juste assez petite pour passer en-dessous, elle a disparu. Maintenant la Bartolotti elle valse avec la taule, mais promis mama ils m'attraperont pas (elle se cachera sous un étal de légumes, encore une fois ou bien peut-être entre les cuisses du policier?).

(TROIS) Mais une nuit, dans sa valse avec les fusées invisibles à l'autre bout du monde, il était là, il a débarqué de nulle part. Il l'a regardée longtemps, se transformer en poète-tagueuse, en poète-voleuse, sans rien dire, pour empêcher la fusée et la cosmonaute nommée Gala de se crasher ailleurs que près de lui (dans ses bras). Ça a marché, Gala Armstrong a planté le drapeau, a fait le premier pas sur la planète Loup. Loup il avait le style des bad boys de films en noir et blanc, la dégaine d'un Danny qui n'a pas encore trouvé sa Sandy. Il était beau, mais elle n'a pas voulu le remarquer tout de suite parce que ça fait mieux, ça fait fille qui s'attache pas trop vite, fille pas trop romantique. Gala elle a toujours aimé se faire passer pour quelqu'un d'autre, jouer la comédie, c'est peut-être pour ça qu'elle n'a rien dit quand Loup a lu Brandy sur le mur, elle est devenue Brandy Bartolotti, juste en un claquement de doigts. Et finalement c'est resté, finalement elle l'a plus jamais dit ce nom-là, seulement quand c'était lui, lui ou les bombes de peinture. Elle s'est perdue un peu entre deux étoiles (ou peut-être que c'était ses yeux), a tournoyé autour de quelques comètes (ou peut-être que c'était ses bras), a déposé un baiser sur le satellite qui tanguait (ou peut-être que c’était ses lèvres) ? Ils avaient un truc assez dingue, quelque chose d'un peu trop fou (on ose pas le dire) tous les deux, c'est peut-être pour ça qu'ils ont joué à deux pendant deux ans. Mais Loup il a décidé de commencer une partie de cache-cache à travers le monde pendant un an. Parfois Gala elle se disait qu'il regardait le mouchoir, celui qu’elle lui avait donné. C’est le même que dans les films sans la trace de rouge à lèvres, le numéro un peu flouté en bas à droite, comme une signature un peu secrète, mais il ne prenait jamais le téléphone pour composer le numéro, pour retrouver la tagueuse entre deux rues, près des poubelles, c'est là où ça tague le mieux. Elle se disait c'est trop facile, elle se disait qu'est-ce qu'il attend ?, elle se disait finalement c'était rien mais elle attendait, toujours, encore, elle espérait, toujours, encore.

(QUATRE) Et puis un jour l'écran de Gala s'est allumé (la légende dit qu'il ne s'est jamais plus éteint). Elle a fait comme si elle avait déjà croqué dans la pomme empoisonnée pour ne pas le revoir, parce qu’elle refusait d’y croire sans doute, mais Loup il a jamais voulu obéir et il est venu écouter James Bond à New-York pour retrouver les baisers de Gala. Ils se sont cherchés à coup d’insultes et de bouquets de fleurs, à coup d’invitations au restaurant et de nuits enflammées, mais irréductiblement ils s’attirent et se repoussent, à se lancer des regards coupables et à s’aimer autant qu’ils se détestent. Et puis Loup est reparti en Italie et Gala a perdu son frère, Gala est repartie elle aussi, dans l’autre hémisphère, parce que la boussole a beau lui montrer le nord elle préfère aller vers le sud, loin du nord (du Loup).

(CINQ) Juste comme son grand frère Gala elle a déjà passé des nuits derrière les barreaux, à batailler avec le gardien, savoir qui d'eux deux allait détourner le regard en premier. C'était une nuit par-ci une nuit par-là, juste assez pour avoir un casier bien rempli, mais pas encore assez pour l'enfermer tutta la vita. Parce qu'elle a beau avoir vingt-quatre ans, Gala elle préfère voler les bières plutôt que les acheter, sûrement pour l'adrénaline, la dopamine. C'est sa dose quotidienne, le besoin vital pour se sentir vivre (c'est ce qu'elle se dit, se répète en disparaissant derrière la porte avec les bières cachées ou la vodka déjà réduite de moitié). Et Ario il pensait que Gala elle était vierge, que Gala elle était belle, que Gala c'était un de ces chérubins aux joues rosies et au sourire naïf qui n'a jamais pêché, jamais menti jamais volé. Et Gala elle voulait pas lui dire, c'était mieux qu'il sache pas, qu'il s'imagine que la huitième merveille du monde nommée Gala elle est encore intacte, encore pure. Mais le casier il passe pas inaperçu au commissariat, il prend de la place sur les étagères, et Ario il aurait pu se rendre compte que Gala elle a bien (trop) grandi. Mais elle lui a rien dit et Ario maintenant ne peut plus savoir. Elle a le cœur troué, explosé par les bombes, mais cette fois c’est pas de la peinture qui sort. Parce qu’Ario n’est plus là et Gala elle a beau regarder les étoiles, elle sait qu’il y est pas, qu’il est juste plus là et que ce manque au fond de sa poitrine ne sera plus comblé.

(SIX) La première fois, elle s’était penchée au-dessus du vide pour voir les corps de ceux qui avaient goûté au sel de la mer d’en bas, qui s’étaient jetés à l’eau sans réfléchir, le sang plein d’adrénaline, de dopamine (de cocaïne). Il avait parié, si je gagne je t’emmène boire un verre, elle l’avait pas vraiment cru (il avait perdu). Cet endroit, c’était sa propre corniche Kennedy, où elle pouvait presque tutoyer le ciel du bout des doigts. On disait que la jeunesse s’y brûlait, chaque nuit, et que dans les flammes de leurs prunelles illuminées on distinguait la soif de sang plus que le désir de victoire, plus que la tentation des billets verts, l’adrénaline des paris faits sur telle ou telle tête. Mais le ciel de cette corniche-là était noir, noir de jais, et l’écume qui s’écrasait contre les rochers se confondait avec les éclaboussures de sang des coups qui se donnaient en spectacle. Et Gala avait regardé, hypnotisée et immobile, cette symphonie violente, qui ripait contre ses tympans avec amertume et colère. Alors elle était revenue. Il avait même fini par lui apprendre, Saul, au détour de leur croisière de plusieurs mois avec l’horizon comme objectif et leurs corps enlacés en guise d’apéritif. Alors elle revenait. Les poings plissés et la mâchoire fermée, le sourire au bout des lèvres et le clin d’œil de début de match (avant de glisser pour éviter le coup et en mettre un autre).
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MessageSujet: Re: i need my lover dose (gala)   i need my lover dose (gala) EmptyJeu 9 Aoû - 19:33

non, mais, on s'autovalide en sauvage :run:
je passe dire que c'est joli par ici :luv: :luv: :luv:
bienvenue à la maison :bril:
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